Changer de regard. Décider de voir la beauté. Jean-Claude Guillebaud revient sur celles glanées au fil de son existence ; l'émotion ressentie devant une peinture pariétale à Lascaux, la parade amoureuse d'un oiseau, le basculement du ciel au-dessus de nos têtes, la rencontre avec une « belle personne », la fulgurance d'une passion. Ce chant du monde nous rappelle que la beauté est rare et précieuse. Qu'il faut la chérir et s'en émerveiller. D'autant plus à l'heure où la planète se fait souffrante.