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Auteur GALLAY Claudie |
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Sur sa péniche, Odon attend Mathilde. Cinq ans qu'elle est partie ! La comédienne, devenue célèbre, revient sur les tréteaux d'Avignon dans la torpeur d'un festival ébranlé par les grèves. La jeune Marie, elle, est venue de Versailles, pleine de[...]texte imprimé
Jessica les connaît depuis toujours : Juliette, Camille, Boucle d'Or, Broussaille. Au milieu des années 1980, l'atmosphère est à l'insouciance pour cette bande de copines de vingt-trois ans ; les projets ne sont pas urgents, d'autan[...]texte imprimé
Jeanne est d'une nature heureuse et elle a tout pour l'être : un mari aimant, deux filles, jumelles, étudiantes à Lyon, un job stable, une amie chère, plaquée par son mari, à réconforter, un clan familial soudé qu'elle retrouve chaque dimanche à[...]texte imprimé
Pour qui aime les romans d'ambiance, celui-ci est un modèle du genre ! Dans l'âpreté de la pointe du Cotentin, les personnages contrastés ont pour seul point commun un passé douloureux, noué de secrets, de silences, de drames. Lambert, revenu ré[...]texte imprimé
Carole, quittée par son mari et loin de ses filles installées en Australie, n'hésite pas une seconde lorsque Curtil, son original de père, lui donne rendez-vous un peu avant Noël. Trois ans qu'elle ne l'a pas vu… Viendra-t-il ? Aussitôt, la voil[...]texte imprimé
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Dans son troisième roman, réédité sous un nouveau format et une nouvelle couverture, Claudie Gallay nous emmène à Venise, en hiver, sur les pas d'une femme à la recherche d'un nouveau souffle de vie. Une très belle réflexion sur l'a[...]texte imprimé
Seule Venise À quarante ans, quittée par son compagnon, l'héroïne vide son compte en banque et part pour Venise. C'est l'hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge la soustraient [...]texte imprimé
Je lui avais pris la photo des mains, j'avais regardé le visage de près. J'avais vraiment décollé, tout de suite, m'étais embarquée pour cet homme que je voulais merveilleux, sûrement un voyageur, évidemment un voyageur ! Il suffisa[...]