John Silver donne le ton du récit autobiographique qui va suivre. Il a décidé de dire la vérité, toute la vérité sur cette partie de sa vie que Robert Stevenson avait omis de raconter. C'est-à-dire, le rôle qu'il a joué dans la quête de Lady Vivian Hasting, contrainte de partir à la recherche de son mari au fin fond de l'Amazonie espérant y trouver la fortune et l'indépendance. Cette suite, sortie de l'imagination de deux jeunes et brillants auteurs, est à la hauteur de leur modèle. Elle plonge ses racines dans la moiteur de l'Amazonie, à la recherche de la mythique Guyanacapac. Le dessin est d'une grande qualité et d'une jolie gamme de couleur. Ce premier volume va plus loin que la simple présentation des protagonistes et du cadre de leur aventures, mais embarque le lecteur dès les premières pages dans un récit qui s'annonce passionnant et plein de rebondissements. (source : les-notes.fr)